- Photovoltaïque
- Pompes à chaleur - Thermodynamique
- Bornes de recharge
- Climatisation
- Traitement de l'eau
Votre assurance habitation multirisque couvrira les dommages provoqués sur votre habitation mais elle ne prendra pas en charge les coûts de réparation ou de changement des panneaux solaires. Certaines assurances habitation multirisque proposent de couvrir également vos panneaux solaires contre certains dommages. Dans tous les cas, contactez votre assureur pour déclarer votre installation photovoltaïque et l’inclure dans votre assurance habitation.
Que vous possédiez un compteur monophasé ou triphasé, vous pourrez installer des panneaux photovoltaïques. Cela dit, un compteur monophasé limitera l’installation à 6kWc alors qu’un triphasé permettra d’aller jusqu’à 9kWc.
Oui c’est tout à fait possible. Les panneaux, produisant encore plus de 80% de leur rendement, pourront être récupérés tels quels et équiperont des projets photovoltaïques solaires à moindre coût dans des régions reculées ou en voie de développement.
Sinon, les cellules solaires peuvent également être récupérées et reconditionnées pour la fabrication de nouveaux panneaux. Des sociétés spécialisées dans le recyclage se chargeront de leur future destination.
Les panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité même lorsque le temps est nuageux, bien que leur rendement diminue. La production d’électricité varie proportionnellement à la lumière qui éclaire le panneau ; un jour totalement nuageux équivaut approximativement à 10% de l’intensité totale du soleil. Le rendement du panneau diminue proportionnellement à cette valeur.
Majoritairement de l’intensité de la radiation lumineuse et de la température des cellules solaires.
Si vous avez opté pour une installation en autoconsommation et que vous ne consommez pas l’intégralité de l’électricité produite par vos panneaux, celle-ci est automatiquement injectée sur le réseau et vendue à un prix fixé par l’Etat.
Oui, on peut être autonome … en site isolé.
Nous réalisons d’ailleurs des installations solaires en site isolé ou l’énergie est stockée sur batteries.
Mais lorsque votre bâtiment est déjà connecté au réseau, même si on veut autoconsommer tout ou une partie de sa production, il est indispensable de conserver le réseau sans lequel les onduleurs solaires ne fonctionnent pas.
Peu avant la date anniversaire de la mise en service de votre installation, vous recevez un mail d’EDF Obligation d’Achat qui vous rappelle d’éditer votre facture.
Une fois vos index saisis sur le portail internet, vous n’avez plus qu’à attendre votre virement qui intervient sous 30 jours en général.
Il y a des formalités administratives à remplir. Les modalités sont décrites sur le site EDFOA.
Le nouveau propriétaire de la maison devient aussi propriétaire de l’installation solaire et du contrat d’achat.
Les onduleurs, tout comme les panneaux bénéficient d’excellentes garanties.
- Onduleur centralisé
Optimise l’utilisation de votre système photovoltaïque : robustesse et technologie éprouvée.
Garantie de 10 ans.
- Micro-onduleurs
Chaque panneau est relié à un micro-onduleurs, en cas de défaillance d’un panneau, les autres produisent toujours de manière optimale.
Garantie de 25 ans.
Elle est écologique, sa source est de l’énergie renouvelable. Elle ne consomme pas beaucoup d’énergie : pour 1 kWh d’électricité consommé, la pompe à chaleur restitue 3 à 4 kWh de chaleur sous condition d’un bon dimensionnement. Ainsi vous allez diminuer les coûts de vos factures d’électricité.
Un système aérothermique de bonne qualité dispose d’une espérance de vie d’environ 20 ans. Pour cela, il est nécessaire de procéder à son entretien régulier et de prendre particulièrement soin des organes qui constituent la pompe à chaleur.
La révision d’une pompe à chaleur doit être faite tous les ans. Une maintenance régulière assure son bon fonctionnement, limite les surconsommations d’électricité et préserve la durée de vie de votre équipement.
Lors de températures très basses avec un fort taux d’humidité, le fait d’installer l’unité extérieure de votre pompe à chaleur sur la façade SUD de votre habitation peut être une bonne solution. L’apport plus généreux en soleil empêche le givre de s’installer et vous permet de réduire le nombre de cycle de dégivrage.
Dans la plupart des cas, oui. Le processus de fonctionnement de le pompe à chaleur est tout simplement inversé.
Contrairement aux chaudières qui utilisent des énergies fossiles où le coût n’est pas maitrisé, la pompe à chaleur est plus performante, économique et écologique, elle utilise une énergie renouvelable dont le budget est plus maitrisé.
Il faut savoir qu’une pompe à chaleur se compose d’une ou bien deux parties :
- une unité extérieure
- une unité intérieure
L’unité intérieure se trouve dans votre maison et sa dimension peut varier selon le modèle (ECS intégré ou pas).
En ce qui concerne l’unité extérieure, il peut y avoir 5 à 30 mètres entre elle et l’unité intérieure selon le modèle. L’unité extérieure peut avoir un ou deux ventilateurs en fonction de sa puissance.
La borne de recharge est un dispositif qui permet de recharger une voiture électrique. Elle est toujours alimentée depuis une ligne dédiée du tableau de distribution. Pour garantir la sécurité de la voiture électrique et de son conducteur, la borne de recharge est bien protégée par un interrupteur différentiel et un disjoncteur de sensibilité élevée.
Les bornes de recharge délivrent 4 puissances de recharge: 11 kW, 22 kW, 3.7 kW et 7.4 kW. Les bornes d’une puissance de 11 kW et de 22 kW sont toujours raccordées en triphasé; tandis que les bornes d’une puissance de 3,7 kW et de 7,4 kW sont raccordées en monophasé.
Les bornes de recharge sont compatibles avec tous les véhicules électriques. Toutes les bornes de recharge, en France, disposent d’un socle de prise T2S conforme aux normes européennes et françaises qui permet de recharger tous types de voitures électriques. Ainsi, du côté de chaque infrastructure de recharge, vous trouverez toujours une prise de type 2 ( le standard européen pour la recharge) pour charger votre véhicule électrique.
Le temps de recharge d’une voiture électrique dépend de plusieurs facteurs à savoir : la puissance que peut délivrer une borne de recharge, la capacité du câble de recharge et celle du chargeur embarqué de la voiture électrique.. Généralement, le temps de recharge d’une voiture électrique varie de 30 minutes à plusieurs heures.
Une borne de recharge avec délestage permet de juguler la puissance électrique distribuée afin de ne pas dépasser la puissance souscrite par le compteur. Le délestage permet à la borne de recharge d’adapter sa puissance de recharge en fonction de la puissance disponible au compteur électrique afin d’éviter les risques de disjonction. De ce fait, les bornes de recharge avec délestage sont plus sécuritaires que les bornes classiques aussi bien pour les véhicules électriques que pour les conducteurs.
Non, il n’est pas nécessaire de protéger la borne. Toutefois, il faut s’assurer que le pistolet de recharge soit orienté vers le bas ou encore inséré dans un réceptacle entre les utilisations (pour éviter que l’eau, la neige ou la glace s’y accumule). Il faut également s’assurer que le câble ne soit pas dans le passage d’une souffleuse ou d’une tondeuse !
Oui, avec deux bornes intelligentes de même marque et compatible, sur un circuit 30 ampères, deux véhicules électriques partageraient la charge (16A chaque). Lorsqu’un des deux véhicules a terminé sa charge, l’autre borne offre alors 30 ampères.
Le concept de climatisation « air-air » ou « air -eau » ne s’applique qu’aux systèmes de climatisation utilisant la pompe à chaleur réversible.
Dans le cas de la climatisation par pompe à chaleur air-air, celle-ci extrait l’air chaud de l’intérieur, et l’expulse vers l’extérieur via des ventilo-convecteurs. Inversement, en hiver elle capte l’air froid à l’extérieur, le chauffe et l’insuffle à l’intérieur. L’énergie est gratuite : elle provient de l’air existant.
En ce qui concerne le fonctionnement d’une climatisation réversible avec la climatisation par pompe à chaleur air-eau, le principe est différent.
En hiver, elle extrait l’air froid à l’extérieur, récupère les calories et utilise leur pouvoir énergétique pour chauffer l’eau qu’elle envoie dans les radiateurs ou le plancher chauffant. En été, il faut la coupler avec un ventilo convecteur pour obtenir de l’air frais (l’eau diffusée par le réseau de chauffage au sol peut difficilement être rafraîchie par frigorigènes en dessous de 15 degrés, et le sol lui-même chauffé va faire monter cette température.).
En hiver, l’unité extérieure récupère les calories présentes dans l’air et les transforme en chaleur en les passant dans un fluide frigorigène. Lorsque la température extérieure est très basse, une résistance se met en route afin de réussir à chauffer l’air prélevé à la température souhaitée.
En été, ce système de fonctionnement est inversé. Le fluide circule dans le sens inverse afin de chasser l’air chaud de la maison, ce qui permet d’abaisser la température de la pièce.
Une climatisation mono-split permet de climatiser une seule pièce (une unité intérieure + un groupe extérieur), tandis qu’une climatisation multi-split permet de climatiser plusieurs pièces en raccordant plusieurs unités intérieures à un seul groupe extérieur.
Avant de nettoyer le climatiseur, prenez soin de disjoncter le système et de déconnecter la prise d’alimentation secteur.
Quand l’appareil est utilisé pendant longtemps, de la poussière s’accumule à l’intérieur de celui-ci, ce qui réduit ses performances.
Il est conseillé de le faire inspecter régulièrement en plus de l’entretien que vous effectuez vous-même.
- Pour nettoyer le boîtier de l’appareil, utilisez une eau de 40 °C maximum, évitez les détergents abrasifs.
- Si l’appareil doit rester inutilisé pendant 1 mois ou plus, sélectionnez le mode ventilation et faites fonctionner l’appareil pendant une demi-journée afin de bien sécher les organes internes à l’avance.
De plus, un contrôle d’étanchéité doit être effectué régulièrement par un professionnel.
Non surtout pas, les sels de régénération ne sont pas du sel de table ! La granulométrie est spécifique aux adoucisseurs d’eau. Il est très important que le sel soit très pur. Nous vous conseillons d’utiliser le sel que recommande le fournisseur ou le fabricant de votre adoucisseur d’eau. Le sel de régénération doit avoir un pouvoir chimique et physique correspondant aux besoins de votre appareil de traitement de l’eau.
Vous remarquerez qu’un code de qualité est apposé sur les sachets contenant les galets ou les tablettes, il doit être inscrit : aux normes européennes DIN 19604 / EN 973.
La recommandation des OMS sur la consommation journalière du sel est de moins de 5 g et pour le sodium moins de 1,95 g.
Etude de cas :
Une personne qui a une eau au TH de 30°F et qui l’adoucie à 0°F aura, au final environ 0,138 g de sodium par litre d’eau.
L’ANSE recommande entre 2 et 3 grammes de sodium par litre d’eau et les OMS 1,95 g. Une eau dure très adoucie donnera ainsi 0,138 g par litre d’eau. Il faudrait donc qu’une personne boive plus de 14 l d’eau par jour pour dépasser les recommandations les plus strictes. Donc on peut dire que l’eau des adoucisseurs n’est pas trop salée, sauf si vous buvez plus de 14 l d’eau par jour.
Non, il a un impact très faible sur l’environnement. Si on prend on compte tous les foyers français ayant un adoucisseur d’eau, on augmenterait la salinité de l’eau de 1% maximum. L’eau de régénération qui est rejetée ne contient pas de chlore mais des ions de chlorure. On peut même la rejeter dans les fosses septiques ou dans les microstations qui fonctionnent grâce à des bactéries naturelles. Si l’eau était polluante, ces bactéries ne pourraient pas survivre.
Si pendant un an, de l’eau est stagnante dans votre réseau, il peut y avoir des bactéries mais pas plus avec un adoucisseur que sans. Si personne ne réside dans la maison, il faudra changer entièrement l’eau de votre réseau en la laissant couler quelques minutes afin d’évacuer l’eau stagnante. Mais dans le cas d’une utilisation normale du réseau d’eau il n’y aura pas plus de bactéries que dans un réseau classique sans adoucisseur.
On peut boire de l’eau adoucie à condition que l’adoucisseur soit bien réglé et correctement entretenu. Cependant, elle est déconseillée pour les personnes à risque ou souffrant d’hypertension. La solution est alors d’installer un osmoseur d’eau en aval de votre adoucisseur. Ces deux appareils sont souvent complémentaires.
L’entretien d’un adoucisseur d’eau est indispensable. C’est un garant du bon fonctionnement de votre appareil. Ainsi il est nécessaire de faire régulièrement :
- la vidange et le nettoyage du bac ;
- le nettoyage des résines une fois par an, pour garantir la qualité bactériologique de l’eau ;
- un contrôle et un ajustement des réglages des cycles de régénération, pour optimiser la consommation de sel et d’eau de recyclage ;
- un contrôle du bon fonctionnement des vannes et autres pièces mécaniques.
Sans entretien, votre adoucisseur va se dégrader ou tomber en panne. La qualité de votre eau du robinet en sera diminuée. A l’inverse, un adoucisseur bien entretenu peut être utilisé pendant 30 ans !
L’idéal est de souscrire auprès d’un professionnel un contrat annuel d’entretien pour votre adoucisseur.
Grâce à une eau adoucie :
- vos appareils ménagers durent plus longtemps ;
- vous constatez l’absence de dépôts dans vos tuyauteries ;
- il n’y a plus de traces blanches sur vos verres, vos robinets, vos parois de douche ;
- votre peau est désormais bien plus douce et moins desséchée.
Vous gagnez en confort.